LA COUR**
Que l'on emprunte l'accès des domestiques, le corridor ou le couloir, ou que l'on traverse les espaces visités antérieurement, on aboutit sans encombre dans la cour. Située dans le prolongement de la maison, elle est l'étape ultime où se diluent les inhibitions du début. Cette tension, qui sclérosait l'élan et les gestes, se perd dans le dégagement et l'insouciance que reflète ce lieu privilégié de l'habitat.
La cour se découvre par la transparence de sa végétation et de ses limites, par son mobilier et par son animation spéc